Troubles du Bas Appareil Urinaire
Chez la Femme
Incontinence Urinaire d’Effort I.U.E.
- La plus fréquente, il s’agit de la forme la plus connue des femmes et des médias.
- Circonstances: éternuement, toux, éclat de rire, vomissement, port de charges,… en fait toute activité physique qui augmente la PIA.
La prévalence la plus faible est en Espagne (23%), tandis que la prévalence est de 44% en France, 41% en Allemagne, et 42% pour le Royaume-Uni. La plupart des études faisant état d’une prévalence de toute IU se situant entre 25 et 45 %.
Incontinence Urinaire d’Effort
I.U.E.
Les fuites urinaires peuvent commencer chez les jeunes filles nullipares dans 8,5 % des cas entre 16 et 20 ans notamment lors des cours d’éducation physique et sportive à l’école.
Près de 50 % des femmes reconnaissent avoir présenté des fuites urinaires lors de leur pratique sportive.
- Mécanismes passifs: une hypermobilité cervico-urétrale, une insuffisance ou incompétence sphinctérienne.
- Phénomènes actifs: un défaut de contraction volontaire et/ou une absence de verrouillage périnéal à l’effort «the knack».
Hyperactivité Vésicale H.A.V.
- Les symptômes de la vessie hyperactive sont : besoin soudain et pressant d’uriner. Uriner fréquemment > 7 fois par jour ou plus en 24 heures. Incapacité de contrôler l’envie d’uriner avant d’avoir pu se rendre aux toilettes.
- Causes principales: cystites à répétition, polypes de la vessie, les maladies neurologiques (lésions médullaires, AVC, maladie de Parkinson, SEP,…) le prolapsus des organes pelviens;
- Certaines situations: stimulation sensorielle (l’eau, le froid…), situations psychogènes ou émotionnelles (stress, fous rires, frayeurs, orgasme);
- Mais le pls souvent idiopathique (sans causes)
La course: plusieurs pistes!
- Selon Runners’ World, jusqu’à 40 % des femmes qui courent, souffrent de fuites d’urine.
- Un sur-entraînement expose les muscles du périnée à un risque de fatigue, les rendant plus faibles et vulnérables.
- La dopamine, le cortisol, l’adrénaline, et les endorphines, qui peuvent augmenter le flux sanguin vers les reins et stimuler davantage la production d’urine.
- Le froid induit la stimulation de l’urètre et la vessie, qui augmente la pression vésicale et donne envie d’uriner.
Nycturie
- La nycturie désigne la plainte d’avoir à se réveiller une ou plusieurs fois au cours de la nuit pour uriner, chaque miction étant précédée et suivie d’une période de sommeil (> 2/mictions la nuit).
- Après 70 ans, on l’estime qu’entre 74 et 77% chez la femme.
- Mais peut aussi se retrouver chez les femmes jeunes.
Mauvaises habitudes alimentaires: sel, thé, café, soda, bière;
Une hyperactivité vésicale;
Un diabète mal équilibré;
Les diurétiques pris un peu tard dans la journée;
Diminution de la sécrétion d’hormone antidiurétique;
Les syndromes œdémateux (insuffisances cardiaque, veineuse ; insuffisance rénale);
Apnée du sommeil
Troubles Mictionnels
Dysurie
- Micrion douloureuse ou gênante, associé classiquement à une sensation de brUles.
- Faiblesse du jet, miction par poussée, gouttes terminales, sensation de vidage vésicale incomplète.
Débit d’au moins 20 ml/S et dans un temp inférieur à 30 secondes pour un volume d’au moins 200 ml.
- L’hypertonie sphinctérienne;
- La sténose et les polypes du méat urétral;
- La dénervation vésicale (diabète, chirurgie radicale pelvienne);
- La cystite interstitielle ou syndrome de la vessie douloureuse;
- Médicaments : anticholinergiques, antidépresseurs, anxiolitiques;
- Le prolapsus des organes pelviens;
- Le fécalome et la constipation.
Les Options Thérapeutiques
- Traitement conservateur
- Traitement pharmacologique
- Traitement chirurgical
L’IU n’est pas une fatalité et la solution n’est pas de porter des couches Car en France on traite nos patientes !
Témoignages et satisfaction de nos patientes
Notre centre de Pelvi-périnéologie est noté 4,6/5 sur Google. Notre objectif est de fournir le meilleur service professionnel aux femmes.